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MEURTRE DE LA PRINCESSE JUIVE

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texte : Armando Llamas

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collaboration Luc-Antoine Diquéro

Avec Michel Didym

et la 75e promotion Ariane Mnouchkine de l’ENSATT

comédiens Ariane Berendt, Marie Brugière, Tristan Cottin Léo Grange, Léonie Kerckaert, Amaranta Kun, Lorenzo Nieddu, Marion Pastor, Gabriel Rouvière, Chloé Sarrat, Alexandre Servage

assistante à la mise en scène Élodie Chamauret

scénographes Caroline Frachet, Laure Montagné

concepteurs lumière Pia Marmier, Théo Tisseuil
concepteurs costumes Adélie Antonin, Gabrielle Marty
assistante à la conception des costumes Fanny Buchs
concepteurs son Caroline Mas, Estelle Lembert
régisseurs son Anouk Audart, Coline Menard

régisseurs lumières Clément Soumy et Anne-Sophie Mage

 

La Manufacture / ENSATT, École Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre

création du 23 au 30 juin 2016 à l’ENSATT, École Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre de Lyon

Serge entame un voyage au Pakistan pour oublier que son amant l’a quitté. Dans sa quête il croisera d’autres couples, autant d’occasions d’intrigues qui s’éclairent les unes les autres. Reste la question du comment vivre entre deux pays, entre deux voyages, entre deux sexualités ? Si le voyage est une solution pour fuir la banalité grise, celle-ci ne menace-t-elle pas de vous rattraper ? La pièce retranscrit le métissage de nos sociétés. Les religions s’y croisent. L’auteur raconte des histoires d’amour et joue de leur diversité : deux femmes, deux hommes, une femme plus âgée et un immigré, deux piliers de bar, un homme/une femme…, tout est possible. Le monde qu’il nous décrit est ouvert, joyeux mais âpre aussi. On s’y rencontre, on s’y perd. Il y est d’ailleurs question d’avions, d’aéroports, d’envols, de zones de transit, de frontières… Les personnages échangent des pensées cruelles, pudiques, désespérées, légères, toutes d’intelligence et d’humour mêlés. On cherchera en vain la présence d’une quelconque princesse juive dans cette comédie des erreurs et des errances amoureuses où les destins se croisent avec allégresse.

© caroline Leïla Frachet

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